On continue jusqu’au marché alimentaire : incroyable, immense, sur plusieurs rues, c’est vrai qu’il faut nourrir quelques millions de personnes qui achètent ou qui vendent. C'est là que je vois un demi-chien coupé en 2, et qui a l'air laqué.
Une vieille porte de ville donne sur un gros boulevard toujours grouillant de circulation, on hésite à naviguer, un peu au hasard jusqu’au fameux pont (de …) moult fois bombardé par les Américains et moult fois photographié. On bat en retraite, vieille ville à nouveau, dans un secteur où les magasins sont clairement regroupés par spécialité : les ferblantiers, les miroitiers, les marchands d’accessoires pour la fête…
On finit par se retrouver dans une artère commerçante plus chère et plus chic, pas loin de l’hôtel. Bon dîner dans restau de chef français (Sorlou ?)marié à une Vietnamienne, d’où sa cuisine et le nom du restaurant : Madame Hien.
On finit par se retrouver dans une artère commerçante plus chère et plus chic, pas loin de l’hôtel. Bon dîner dans restau de chef français (Sorlou ?)marié à une Vietnamienne, d’où sa cuisine et le nom du restaurant : Madame Hien.
La première impression d’Hanoi est vraiment puissante et intrigante. Et irritante pour la gorge. Après Saigon ça ne s’arrange pas. Ça doit même être pire.








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