vendredi 3 avril 2015

Depuis le temps que j'ai envie d'aller au Vietnam. Voilà. Correspondance à Shangai. J’ai atterri vers 17 heures. 12 degrés et temps gris, comme un jour sans lumière à Paris. Deux personnes au guichet pour gérer 200 Chinois en transit, et moi et moi et moi. Des annonces tonitruantes de loin en loin, uniquement en chinois. Heureusement que j’ai le temps. 
Enfin, la salle de transit. La nuit tombe plus tôt, semble-t-il. Pubs en boucle (je reconnais Cendrillon) devant le stand où je recharge mon mobile en essayant de comprendre comment on se connecte au free-wifi. Snack à côté de bonzes (robes pourpres et crânes rasés), la plus curieuse me demande ce que je fais là. Ils viennent de Taiwan et vont 10 jours en Inde à Dharamsala voir leur maître (teacher), de l'école...? 
Salle d'embarquement bondée. 3 vols (Phuket, Bangkok, Ho Chi Minh City). Et ça dure, ça dure dans cet endroit glauque, plein de monde et de cris d’enfants, d’annonces incompréhensibles et de bruits de télé. Le vol me paraît interminable, ma valise n’est pas sur le tapis des bagages et je flippe dans le taxi en le soupçonnant de me faire faire le grand détour qui rallonge, à 3 heure du mat. Bizarre, il klaxonne tout le temps. Il paraît qu’en cas d’accident, il est en tort s’il n’a pas klaxonné. ça me coûte à peu près la somme vertigineuse de 250 000 dongs. Je n'ai pas l'habitude.

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